© Toutes les photographies de ce post appartiennent à Vincent Delerm
Il y a des artistes comme ça, qui pourraient écrire la BO de notre vie… Ceux qu’on suit depuis toujours et qui écrivent juste. Moi à 16 ans, je voulais être sa Chloé, je me reconnaissais en elle : mes parents étaient prof et abonnés à Télérama, on regardait Thalassa le dimanche soir. Je rêvais de L’heure du thé, j’adorais Vivement Dimanche !, Fanny Ardant et Jean Louis Trintignant… Au fil des ans, j’ai continué à écouter Vincent Delerm, à aller le voir en concert ou en spectacle. Et puis il y a eu Les Amants Parallèles. Je crois que je l’écoute presque une fois par jour depuis six mois. C’est un peu une obsession. Cet album composé et arrangé avec plusieurs pianos modifiés (on dirait qu’il y a des cordes et des percussions) est une vraie merveille. L’histoire est belle, cette histoire d’amour qui évolue, qui grandit, avec des hauts, des bas, mais toujours beaucoup d’amour. C’est très encourageant, beau, et émouvant.
Et puis pour la première date de la tournée, Vincent Delerm jouait à l’Olympia, c’était très drôle et émouvant et j’ai encore redécouvert l’album. Avec beaucoup d’émotion j’ai réécouté L’heure du thé, qui a aujourd’hui une résonance particulière… Bref, c’était très chouette et ça ne sert plus trop à rien ce que je vous raconte parce que la tournée est terminée mais il y a cette chouette vidéo sur le chouette blog de Vincent Delerm :
Vincent Delerm n’est pas qu’un auteur de belles chansons qui raisonnent aux oreilles des éternelles romantiques, il écrit aussi des pièces de théâtre, met en scène, joue, et fait des photographies. En voici quelques unes que j’aime particulièrement – mais je vous encourage vivement à aller sur le Tumblr car elles font partie de séries cohérentes.
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