Vous l’avez peut-être aperçu dans mes Stories ou dans mon article sur les photos de Mai, mais je suis l’heureuse propriétaire d’un cyclo-cross ! J’ai jeté mon dévolu sur un Kona Rove Al, acheté chez Bicloune à Paris. Pour le moment, je débute, n’attendez donc pas un article complet sur le sujet, j’y reviendrai quand j’aurais plus de deux mois dans les pattes.
J’ai quand même parcouru pas mal de kilomètres, autant en forêt que sur route (c’est l’avantage du cyclo-cross), et comme je ne peux toujours pas faire d’escalade, mes envies d’évasion et de nature sont comblées par ma bicyclette ! J’essaye de m’échapper de chez moi au moins trois fois par semaine pour aller rouler à la campagne. Fontainebleau par exemple, est à une demi-heure de train de Gare de Lyon. Il fait jour très tard en ce moment, c’est carrément accessible, même le soir, si on ne quitte pas son bureau trop tard.
Pourquoi le cyclo-cross ?
Comme vous le savez si vous me lisez depuis un moment, j’ai très envie de plus de nature dans ma vie de citadine. Mon ami Rudy et mon copain avaient chacun un cyclo-cross et semblaient bien s’amuser avec. C’est un vélo très polyvalent (attention je vais beaucoup vulgariser !) : c’est un peu comme un vélo de course, mais avec des pneus plus typé « cross ». On peut aller partout avec un cyclo-cross. Certains sont orientés « gravel« , c’est à dire plus randonnée, et on peut les équiper pour partir plusieurs jours avec. Ce dernier point me fait particulièrement rêver.
Comment j’ai choisi mon cyclo-cross ?
Au départ, je ne voulais pas mettre trop cher dans mon vélo. J’avais depuis quelques années un vélo de ville Peugeot acheté sur ebay 60€, j’imaginais mal mettre beaucoup plus… La naïve… En plus, même si je savais que j’allais aimer le CX (on dit aussi CX pour cyclo-cross), je débutais. Je me suis donc dit que j’allais m’orienter vers un vélo B’Twin mais je n’ai pas réussi à trouver de cyclo-cross chez Décathlon. Ensuite, j’ai cherché côté occasions mais les cyclo-cross de petites tailles sont très rares. J’ai l’impression qu’il y a vraiment peu de femmes qui en font. Sans compter que j’avais envie de l’essayer pour qu’il me convienne bien.
Au final, je me suis fait offrir ce merveilleux Kona Rove Al pour mon anniversaire. J’ai eu de la chance, le modèle de cette année venait de sortir et il restait un modèle de l’année dernière à ma taille, avec une bonne ristourne. Je me retrouve donc avec un très bon vélo neuf, au même prix que certains cyclo-cross d’occasion. Je reviendrai dans un autre article sur ce modèle Kona et son équipement.
Concernant la taille, je l’ai essayé un peu et j’ai fait confiance au vendeur. Et je ne regrette pas, il me va parfaitement. J’appréhendais un peu au début car je ne touche le sol que sur la pointe des pieds mais la position de conduite est top.
Quel équipement de base pour débuter le CX ?
Très vite, j’ai su qu’il me faudrait un cuissard ! La selle n’est pas des plus confortables… J’ai pris un cuissard B’Twin 900 car il y a des inserts gel et non mousse. J’en suis très contente. Après avoir testé avec et sans culotte, je confirme que c’est beaucoup mieux sans, incomparable même.
J’ai également acheté deux portes bidons, ainsi qu’une sacoche de cadre et une de selle, toujours B’Twin. En général, je fais du vélo sans sac à dos. C’est bien plus agréable et mes petites sacoches me permettent de mettre un coupe-vent, une pompe, une chambre à air et de quoi démonter mes pneus.
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Ah oui et sinon, en cyclo-cross, on tombe. Enfin, moi, je tombe. Deux fois en forêt parce que je n’avais pas assez d’élan pour passer une bosse (cette chute ridicule au ralenti en arrière comme dans les vidéos, vous voyez ?) et une autre sur la route parce que j’ai perdu le contrôle de mon véhicule à cause d’une p***** d’ornière. Là, ça fait un peu plus mal, mais rien de grave.
∼ Ne t’inquiète pas Maman, tout va bien, je suis prudente ! ∼
Inutile donc de vous faire un topo sur le port du casque, OBLIGATOIRE ! Honnêtement, c’est vraiment très important, que l’on fasse de la route ou du cross. On a vite fait de taper la tête. Autant un poignet cassé c’est pénible mais ça se répare, autant un traumatisme crânien… Bref, le casque, ce n’est pas une option.
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Je ne suis pas sponsorisée par Decathlon, mais il faut avouer que les prix sont imbattables pour une très bonne qualité. Pour le moment, je fais des sorties d’une heure et demie – deux heures, et je suis très bien avec cet équipement. D’ailleurs après ma glissade sur le bitume, mon cuissard n’est pratiquement pas abîmé, encore moins déchiré.
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Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me les poser en commentaire ou par e-mail. J’orienterai mes prochains articles en fonction. 🚴♀️
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