Mon petit carnet de bord de Tahiti s’est interrompu quelques jours à cause d’un petit souci de connexion à Internet. C’est très difficile de trouver un bon réseau Wi-Fi pour uploader mes photos. Je vais essayer de finir avant de rentrer. La météo est un peu capricieuse en Polynésie en ce moment. C’est la saison des pluies et il y a beaucoup de vent. Notre excursion a donc été annulée, à la place, j’ai pu plonger à nouveau et profiter du spa de l’hôtel Kia Ora Resort. Un programme plutôt agréable !
Après un délicieux massage, je suis donc allée, détendue, refaire de la plongée sous-marine. Avec Camille, Jeon (mes deux nouveaux amis) et Manu, l’instructeur, nous avons plongé pendant presque une heure cette fois. Et nous avons vu un requin !!! Mon petit coeur à fait « boum ». J’ai tellement regardé Cousteau quand j’étais petite, c’est fou de vivre ça, d’entendre le bruit du détendeur… J’ai un petit souci au niveau des oreilles, donc j’espère que je vais m’habituer à la profondeur, parce que j’ai très envie de passer mon PADI maintenant…
Le soir, nous admirons le coucher de soleil à la passe de Tiputa. Nous sommes reçus aux Relais de Joséphine. Cette petite pension de famille possède une très belle terrasse sur la passe. Le soir, des dauphins viennent jouer dans les vagues. Vous voyez l’image kitschouille du dauphin qui saute en arrondi devant le soleil couchant ? C’était ça ! À vivre, c’est juste magique.
Avec le jetlag, je me réveille à 5h, et le ciel est complètement rose. Je me dépêche donc d’aller admirer le lever de soleil du côté de l’Océan. Des chiens me rejoignent sur le chemin, et m’entourent, me suivent partout, s’assoient à côté de moi pendant que je prends les photos… Je crois que j’aurais pu rester des heures ici, à regarder les vagues…
À l’heure de quitter ce petit paradis qu’est l’atoll de Rangiroa, nous visitons une ferme perlière. Les perles de culture, très foncées, sont une grande spécialité de la Polynésie française. Les huîtres viennent du Mississipi, et grandissent dans le lagon pendant trois ans avant de recevoir leur greffon. Au bout de deux années passées dans une nacelle au fond de l’eau, les huîtres sont collectées et les perles extraites. Si les perles sont belles, les huîtres recevront un nouveau greffon et repartiront à l’eau pendant encore deux ans. Sinon, ces dernières seront utilisées pour faire de la nacre et pour se nourrir. J’ai d’ailleurs mangé un tartare de Korori absolument délicieux ! À Tahiti, on utilise le pied de ces grosses huîtres en carpaccio.
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Pour en savoir plus sur les récoltes et le procédé éthique et écologique de la ferme perlière Gaugin’s Pearl, rendez-vous sur le site Internet.
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Demain, nous serons à Moorea, si tout va bien… N’hésitez pas à me suivre sur Instagram si vous souhaitez voir les images un peu plus rapidement qu’ici !
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